La scène qui se déroulait dans le cœur vibrant du pays de Tōji avait capturé l'essence même de ce que Ryoken recherchait sur son chemin solitaire — un sens, une direction peut-être, dans ce monde chaotique. L'Oracle, un pilier de sagesse et de calme, avait apaisé la tempête naissante entre les deux jeunes éveillés avec une facilité qui forçait le respect. C'était un spectacle qui avait attiré Ryoken non pas par le conflit, mais par la résolution pacifique qui avait suivi. Un moment d'enseignement qui révélait la profondeur des convictions de Yuubae.

Ryoken, malgré sa jeunesse, ayant traversé nombre d’épreuves et rencontré de nombreuses philosophies, trouvait rarement des paroles qui résonnaient avec une telle clarté dans son esprit. L'Enseignant avait parlé de compassion, d'unité, de la force non pas comme un outil de domination, mais comme un moyen de protection, de construction. Et pourtant, la réalité du monde de Ryoken était teintée de nuances plus sombres, où les idéaux se heurtaient souvent à la dureté des actions nécessaires pour les maintenir.

S'avançant avec assurance, chaque pas de Ryoken vers l'Oracle et les jeunes éveillés marquait le pont entre ces deux mondes. Ses yeux, reflet d'un passé tumultueux, ne quittaient pas Yuubae, cherchant dans son regard une réponse à la question silencieuse qu'il posait. Le silence qui s'était installé se brisa sous le poids de ses mots, prononcés avec une voix empreinte d'un respect guerrier.

"Tes paroles portent la sagesse des âges, de celles et ceux qui t’ont précédé." dit Ryoken, son timbre résonnant avec la sincérité dans l’assemblée.

"La compassion, l'unité, la collaboration — sont des forces que j'ai vu défendre, mais aussi se briser sous le coup de la réalité. Le monde dans lequel nous vivons nous défie, nous teste, nous demande si nous sommes prêts à défendre ces idéaux... non seulement avec nos cœurs mais aussi avec nos mains."

Il y avait une pause, un moment suspendu dans le temps où Ryoken semblait mesurer l'impact de ses mots, non seulement sur l'Oracle, mais sur tous ceux qui écoutaient. Son défi n'était pas un rejet des enseignements de Yuubae, mais plutôt une invitation à équilibrer la sagesse avec la nécessité de l'action.

"Tu sais enseigner, Oracle, mais la question demeure : sais-tu te battre ? Peux-tu montrer à ces gens ce que signifie vraiment protéger ce qui est précieux ? Pas par les mots, mais en démontrant que tu es prêt à te lever, à te battre pour tes croyances. Voilà ce que signifie enseigner par l'exemple. Chaque personne est différente, n’a pas le même vécu, les mêmes expériences et ne partagent pas les mêmes valeurs, certains n’hésiteront pas."

La tension dans l’air augmenta d’un seul coup, le regard de Ryoken se durcit.

"Le monde a été forgé dans le sang. Si tu veux être considéré et respecté, il faut être capable à tout moment de t’imposer pour ensuite imposer ta propre vision du monde, voilà ma manière de voir les choses. Je m’appelle Ryoken, et je te défie en duel."

La détermination dans la voix de Ryoken ne cherchait pas à inciter à la violence, mais à inviter à une démonstration de force guidée par les convictions et la volonté de protéger. Ce n'était pas un défi lancé avec malice, mais avec le respect d'un guerrier à un autre, cherchant à comprendre la profondeur de l'engagement de l'Oracle envers ses idéaux. Pour Ryoken, c'était une quête de vérité, une manière de tester non seulement l'Oracle mais aussi lui-même, pour voir si un pont pouvait être construit entre l'explosion et la sagesse, entre l'artiste et le sage.

Dans l'arène vibrante d'anticipation, improvisée par l’éloignement de la foule pour ne laisser qu’un terrain praticable pour le combat, Ryoken se tient avec une détermination farouche, son regard fixé sur Yuubae. Le silence qui les enveloppe est presque palpable, un prélude à l'orage qui s'annonce. La position de salut adoptée par Yuubae est immédiatement reproduite par le Bakusho, qui offre tout son respect à son adversaire.

« Enchanté également Yuubae, faisons un bon match ! »

Ryoken, l'esprit en ébullition, commence son ballet de destruction avec une minutie presque artistique.

« Allons-y ! »

1.Avec une concentration implacable, Ryoken utilise l’une de ses bouches dissimulées sans la paume de sa main droite. Sa mastication rapide est délibérée, chaque mouvement de sa mâchoire infusant son chakra dans l’argile ainsi créée, lui donnant vie et forme. À ses côtés, comme s'il émergeait de l'ombre même de Ryoken, un clone d'argile prend forme. Ce double, une réplique exacte de son créateur, se tient prêt, un miroir vivant reflétant l'intensité de son regard.

Sans perdre un instant, Ryoken lance simultanément son offensive. 2De ses mains, une vaste nuée de sauterelles d'argile jaillit, un essaim destructeur modelé avec une précision chirurgicale. Ces créatures, engendrées de l’argile et de l'imaginaire fertile de Ryoken, s'élancent dans une danse mortelle. Elles zigzaguent avec agilité à travers le terrain, un déluge de formes argileuses encerclant Yuubae à 180 degrés en bondissant énergiquement. Dans un crescendo dramatique, elles convergent vers leur cible pour exploser en un feu d'artifice de dévastation déclenché dès qu’elles sont à portée de cible par un simple mudra de Ryoken.

Alors que la poussière des explosions retombe lentement, une figure se détache du tumulte au sol. 3.Le clone de Ryoken, d'un geste fluide, façonne dans l'argile un majestueux oiseau. Avec une grâce qui défie la gravité, il laisse l’original grimper sur son dos et le laisse s’envoler, dominant le champ de bataille depuis les cieux. Cette ascension n'est pas une fuite, mais une manœuvre stratégique, un oeil céleste surveillant le terrain. Haut dans les airs, l’original prépare sa prochaine salve, le clone encore au sol, 4.crée une nuée de petits oiseaux d'argile, chacun bourré de potentiel explosif, prêts à être déployé sur un signe de son maître.

Au centre de cette tempête de destruction, l'original, Ryoken, demeure immobile, son calme contrastant avec la violence de son assaut. Son regard ne lâche pas Yuubae, déchiffrant chaque micro-expression, prêt à répondre à la moindre riposte. Les paroles qu'il fait adresser à son adversaire par son clone au sol sont empreintes d'un respect profond, mais aussi d'une promesse tacite : celle d'un duel où chaque mouvement, chaque décision, porte en elle le poids de leur honneur.

« Que le meilleur gagne, Yuubae. »

Ces mots simples, prononcés avec une gravité sereine, scellent l'engagement de Ryoken dans ce combat. Alors que le clone surveille la scène, prêt à intervenir, Ryoken au sol est l'incarnation même de la résolution et de la stratégie. Dans cet affrontement, Ryoken vient de poser les premières pièces d'un jeu qui s'annonce aussi explosif qu'imprévisible.

Le terrain d’entraînement, déjà ébranlé par les premiers échanges, semblait retenir son souffle, suspendue à l'instant présent. Ryoken, perché sur son oiseau d'argile, dominait le champ de bataille depuis les airs, une position qui lui offrait un avantage stratégique non négligeable. La scène était presque picturale, le jeune combattant et son clone façonnant avec maestria leur stratégie, chacun jouant sa partition dans cette symphonie de destruction et de ruse.

1.Sur le terrain, le clone de Ryoken anticipait la progression inévitable du marécage boueux de Yuubae en mastiquant l’argile rapidement. Avec une feinte de déséquilibre, il semblait vouloir échapper à l'emprise de la boue avant de trébucher ostensiblement, ses mains disparaissant sous la couche visqueuse. Ce faux pas, calculé avec minutie, lui permettait de dissimuler ses véritables intentions. Sous le couvert de cette chute, un essaim de serpents d'argile, formé au préalable, s'insinuait dans le marais, prêt à se déployer en sous-marin. La technique de Yuubae, destinée à entraver, se retournait contre lui, transformée en un piège potentiel par l'ingéniosité du Bakusho. Ainsi, même si son adversaire avait pris ses distances, les créatures d'argiles profitaient ouvertement de cette distance pour la réduire progressivement de manière moins visible pour lui, en se dispersant sur l'ensemble du terrain.

2.Sans un bruit, Ryoken initiait le premier mouvement de son plan d'attaque. Grâce à sa monture volante, il échappait au ralentissement et réduisit suffisamment la distance les séparant. D'un geste sûr et précis, il libérait la nuée d'oiseaux d'argile, créée auparavant, dans un élan qui ne requérait aucune mastication supplémentaire de l'argile – une économie de temps précieuse. Les créatures volantes, telles des comètes erratiques, plongeaient vers le sol en dessinant des spirales chaotiques pour éviter un blocage unidirectionnel. Leur objectif était clair : encercler Yuubae dans une danse mortelle en profitant du terrain boueux qui fonctionnait de la même manière dans les deux sens, empêchant un déplacement ample sans s’embourber les pieds dans le marécage, chacun des oiseaux explosant à proximité de l'Oracle, dans une tentative de submerger ses sens et sa concentration et les focaliser vers les airs.

Depuis sa position aérienne, Ryoken ne perdait pas une miette du spectacle, son regard perçant captant chaque détail, chaque mouvement sur le terrain. Il notait avec intérêt la méthode employée par Yuubae pour ériger ses défenses de terre, sans recourir à des mudras pour le mur et la colonne – une révélation de ses compétences en Taijutsu. Seul le marécage, conjuré avec une série de gestes précis, trahissait sa maîtrise du Ninjutsu. Cette dualité de talents n'échappait pas à l'analyse tactique de Ryoken, ajoutant une couche supplémentaire de complexité à leur duel.

L'attention du Bakusho ne manquait pas non plus de se poser sur les leçons que dispensait Yuubae, même en plein affrontement. Chaque mot, chaque conseil donné à ses élèves était absorbé, tissé dans le fil de ses propres réflexions sur la nature de leur combat. C'était un échange, non seulement de coups, mais de philosophies et d'idéaux.

« Sans violence pas vrai ? Ça me donne envie de te pousser beaucoup plus loin, Yuubae ! »

Ryoken et son clone se tenaient prêts. Le premier assaut avait été lancé, laissant présager des ripostes, des contre-attaques, dans une escalade de stratégies et de puissance. Ce combat n'était pas seulement une confrontation physique, mais un duel d'esprits, où chaque action, chaque décision pouvait faire basculer le destin de cette joute improvisée.

Dans l'arène silencieuse, le face-à-face entre Ryoken et Yuubae s'intensifiait, chacun mesurant l'ampleur de la tâche à accomplir. La terre s'était déjà solidifiée sous les pieds du clone et des serpents d'argile, les piégeant dans un échiquier mortel façonné par l'Oracle. La scène était prête, chaque joueur occupant sa position avec une précision calculée, prêt pour le prochain mouvement.

1Alors que Yuubae, avec une détermination tranquille, construisait un cube de terre pour se protéger des oiseaux d'argile en approche, le clone de Ryoken, malgré son immobilisation apparente, était loin d'être vaincu. Utilisant astucieusement la partie de son visage encore libre, le clone commença à mâcher de l'argile, ses mouvements masticatoires à peine perceptibles sous le couvert boueux. Cet acte, simple en apparence, était en réalité le prélude à une riposte calculée. À l'abri dans son cube de terre, Yuubae était concentré sur la protection contre les oiseaux d'argile venant du ciel, sa vision complètement obstruée par les murs de sa forteresse temporaire. C'était dans cet instant de concentration singulière que le clone lança son oiseau géant d'argile, exploitant le moment où la vigilance de l'Oracle était tournée vers le ciel, pour envoyer la créature d'argile foncer droit vers le cube de terre et Yuubae.

Le cube à ciel ouvert donnant sur Ryoken, ce dernier prit la parole en étant assuré que l’Oracle l’entendrait.

« J’aime beaucoup ce que tu enseignes, Yuubae. La maîtrise de soi, être proactif plutôt qu’agressif, savoir s’adapter en toutes circonstances. Je serai ravi de me glisser parmi tes élèves plus tard. »

Juste au moment où le golem de terre, invoqué par Yuubae, émergeait sous les yeux du Ryoken original, l'oiseau géant d'argile atteignait sa cible.

« Soyons donc proactifs, et avec l’art que ça mérite ! »

Il explosa dans une détonation retentissante, sans avertissement. La puissance de l'explosion était conçue pour surprendre, son timing parfait cherchant à tirer parti de la transition de Yuubae hors de sa protection de terre. Cette action si réussie, visait dans le même temps à empêcher le golem d'agir sur la terre solidifiée.

2Pendant ce temps, Ryoken, depuis les hauteurs sur son propre hibou géant d'argile, créa un second hibou d’argile puis exécuta un ballet aérien avec une seconde créature identique en tous points. Leurs mouvements dans les airs étaient des figures acrobatiques élaborées, un spectacle visuel conçu pour brouiller les pistes en tournant autour de sa cible. Cette confusion aérienne était une feinte stratégique, destinée à laisser Yuubae et les spectateurs incertains de la position réelle de Ryoken.

Cette suite d'actions était un testament de l'ingéniosité de Ryoken, une démonstration de sa capacité à exploiter chaque ouverture, chaque moment de distraction de son adversaire. Dans ce duel de volontés, Ryoken utilisait l'argile non seulement comme arme mais aussi comme un outil de tromperie, tissant autour de Yuubae un réseau d'incertitudes et de surprises.

Dans l'arène, le silence était rompu uniquement par le tumulte de la bataille. Amidamaru, le fidèle compagnon de Yuubae, agissait avec précision, arrêtant l'avancée de l'oiseau d'argile de Ryoken avant même l'apparition de Yuubae. Cet arrêt brusque, bien que n'atteignant pas sa cible, rapprochait néanmoins l'argile explosive de Yuubae, une situation qui convenait bien à Ryoken qui laissa donc le pic et le golem faire leur œuvre, détruisant le clone et les serpents, et bloquant l'oiseau sur place.

En haut, Ryoken observait la scène, imperturbable. La destruction de ses serpents d'argile et de son clone immobilisé ne faisait que rediriger l'attention vers lui, le véritable acteur de cette joute aérienne. Les courants de vent générés par Amidamaru, bien que perturbants, et manquant de portée et d'intentions offensives réelles, ne faisaient qu'offrir à Ryoken une occasion de s'élever encore plus, utilisant ces bourrasques comme un tremplin vers une position plus stratégique, refusant d'attaquer par le haut pour révéler immédiatement sa position.

Dans cette impasse, la présence de Ryoken dans les cieux restait un mystère pour Yuubae et Amidamaru, malgré le ballet aérien exécuté par un second oiseau d'argile. Ce leurre, créé par Ryoken, volait avec grâce, un véritable spectacle destiné à confondre et à empêcher toute attaque directe contre lui. Comment attaquer efficacement une personne dissimulée dans le dos d'une créature bien plus grande que lui sans indications particulières ? Le dragon de terre était devenu un obstacle, mais Ryoken avait réussi à préparer le terrain. Il ne s'exprimait plus, montrant à son adversaire que sa concentration était devenue optimale, ses mots n'étaient pas tombés dans l'oreille d'un sourd, et il souriait, heureux de pouvoir exprimer son art contre pareil adversaire, respectueux et courageux.

1Le moment était venu. Alors que les forces de la nature conjurées par les deux camps s'entremêlaient dans les airs, entre terre et argile, Ryoken trouvait son ouverture. Avec un commandement simple, un "Boum !" retentissant, l'oiseau d'argile bloqué auprès du golem de terre explosait dans une manifestation de puissance pure, visant à déstabiliser le monstre de terre, pilier sur lequel reposait ses deux adversaires, depuis ses fondations, à ses pieds. Cette explosion, méticuleusement calculée, assez puissante pour provoquer une zone étendue d'impact, était conçue pour tirer avantage de l'effet de surprise, visant à ébranler les défenses de Yuubae au moment le plus opportun.

2Simultanément, Ryoken ne laissait rien au hasard. Son second oiseau d'argile, prêt à l'emploi depuis le début de cette confrontation, plongeait maintenant vers le sol dans un mouvement soudain et déterminé. Cette descente, rapide comme la foudre, terminait sa course dans une explosion supplémentaire, visant cette fois le dragon de terre qui s'élevait en provoquant une déflagration qui, si elle faisait mouche, avait bien l'intention de balayer la créature en un souffle de gravats dirigés vers ses adversaires. Manipuler tant d'argile en un laps de temps si court commençait à faire tourner de l'œil le Bakusho, caché mais néanmoins fatigué par l'effort spirituel demandé, il ne tiendrait plus longtemps et il le savait.

Ces mouvements, exécutés avec une finesse qui caractérisait l'essence de l'art auquel Ryoken était accoutumé par les traditions familiales. Chaque explosion n'était pas seulement une attaque, mais une partie d'un plan plus vaste, une stratégie conçue pour maintenir l'initiative et contraindre ses adversaires à réagir à ses conditions. Dans ce duel où l'on pouvait en perdre le souffle, Ryoken démontrait que la vraie force réside non seulement dans la puissance des attaques, mais également dans la capacité à manipuler l'environnement et à faire preuve de proactivité pour créer un art grandiose.

Le ciel grondait de plus en plus, annonçant l'approche de la catastrophe imminente. Yuubae et Amidamaru savaient qu'ils devaient tenir bon, car leur stratégie ultime était sur le point de se concrétiser, mettant fin à ce combat acharné. Le terrain était méthodiquement quadrillé, les pics de terre de Yuubae formant une cage impénétrable autour de Ryoken et de son volatile en argile. Il leur était désormais impossible de regagner la terre ferme, piégés dans les airs par les obstacles rocheux.

Pendant ce temps, Amidamaru avait habilement manipuler les éléments pour provoquer un orage. Les nuages noirs s'amoncelaient, illuminés par les éclairs qui zébraient le ciel, déchaînant la colère des cieux. Une fois que l'orage fut à son apogée, Amidamaru se positionna au sol, au centre des piques de Yuubae, cherchant à se placer précisément sous Ryoken qui flottait dans les airs.

Au moment opportun, le batracien planta son parasol chargé de chakra Raiton dans le sol. Agissant comme une balise, le parasol attira la foudre naturelle vers lui. Cependant, la foudre cherche toujours le point le plus haut, et malheureusement pour Ryoken, ce fut lui et son volatile qui furent frappés en premier. La puissance dévastatrice de la foudre carbonisa instantanément Ryoken, faisant exploser son volatile en argile dans les airs. Le courant électrique traversa tout jusqu'à ce que finalement la foudre atterrisse sur la balise d'Amidamaru.

C'était la fin du combat. Ryoken était terrassé par l'assaut de la foudre, incapable de se relever. La victoire appartenait au duo, grâce à la combinaison de la force brute et de l'intelligence tactique d'Amidamaru. Leur collaboration exemplaire avait démontré leur capacité à surmonter les obstacles les plus redoutables et à émerger triomphants, même face à un adversaire aussi redoutable que Ryoken.